Le XIXème siècle était celui de l’hystérie, le XXème celui du stress et il semblerait bien que le notre soit celui du control freak. En rédigeant cet article et en questionnant mon entourage, je me suis rendue compte que ce terme n’était pas toujours employé à bon escient. Alors, qu’est ce qu’un control freak (et pas frac ou fric…) ? Quelles sont ses caractéristiques et comment le reconnaître ? Comment vivre et travailler avec lui ? Que peut-on apprendre d’un control freak ?

Coaching de dirigeants de PME et ETI

A la fin de cet article, je répondrai à 3 questions sur lesquelles j’ai travaillées avec mes clients dans le cadre de leurs séances de coaching individuel.
Table des matières
Vos 3 guides offerts sur le control freak
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En bref
- Le control freak a souvent peur de l’imprévu ou de l’échec : vrai
Ce besoin de contrôle excessif cache fréquemment une angoisse sous-jacente : peur que les choses tournent mal, que les autres ne soient pas à la hauteur ou que des erreurs surviennent. En gardant la main sur tout, le maniaque du contrôle tente de se rassurer face à l’incertitude.
- Ce comportement peut créer des tensions dans une équipe : vrai
Un control freak a tendance à ne pas déléguer, à micro-manager ou à vouloir tout vérifier. Cela peut générer de la frustration, un manque de confiance, et nuire à l’autonomie et à la créativité des autres membres de l’équipe.
- Être un control freak garantit de meilleurs résultats dans tous les projets : faux
Au contraire, trop de contrôle peut ralentir les processus, démotiver les collaborateurs et limiter l’innovation. L’efficacité ne vient pas d’un contrôle constant, mais d’un équilibre entre supervision, confiance, et délégation.
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